Actualités de la myologie
Flux RSSDyskinésie scapulaire dans la DM1 : caractéristiques cliniques et investigations génétiques
Pour étudier le décollement scapulaire ou d’autres formes de dyskinésie scapulaire (condition de modification de la position normale et du mouvement de l’omoplate) dans la dystrophie myotonique de type 1 (DM1), généralement considérée comme une myopathie distale, un groupe de cliniciens et de chercheurs néerlandais et français incluant des experts de l’Institut de Myologie, ont … [Lire la suite]
DM1 : efficacité chez l’animal d’une approche par oligonucléotides antisens
La la dystrophie myotonique de type 1, (DM1 ou maladie de Steinert) est due à des répétitions de triplets anormales présentes dans le gène DMPK. Les ARN DMPK mutés qui en sont issus s’accumulent dans le noyau où ils forment des agrégats nucléaires et entrainent en particulier la séquestration de la protéine de liaison à … [Lire la suite]
Thérapie génique pour la SLA
La sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une maladie du motoneurone (MMN) très sévère et sans traitement. Les récentes avancées dans la thérapie génique ont ouvert de nouvelles perspectives dans le traitement de ces pathologies, en particulier pour les formes génétiques caractérisées. Les approches de thérapie génique, notamment la délivrance d’oligonucléotides antisens dans le système nerveux … [Lire la suite]
Une forme rare de dystrophie musculaire des ceintures : deux nouvelles observations de transportinopathie
Les dystrophies musculaires des ceintures (ou LGMD ou Limb Girdle Muscular Dystrophies) constituent un ensemble hétérogène de maladies génétiquement déterminées touchant les muscles des ceintures pelvienne et scapulaire. Près de 40 gènes, récessifs pour la plupart, ont été mis en cause à ce jour. Parmi eux, le gène TNPO3, un gène dominant, code une protéine … [Lire la suite]
Maladie de Steinert : vers une mesure simplifiée et plus fiable de la taille de répétitions CTG
La maladie de Steinert (ou DM1 pour myotonic dystrophy type 1) est une des maladies neuromusculaires les plus fréquentes. Caractérisée par une atteinte pluri-systémique due à une expansion anormale de triplets CTG dans le gène DMPK, elle se transmet selon un mode autosomique dominant. On en distingue cinq types selon l’âge de début des premiers … [Lire la suite]
Myopathie des ceintures R9 liée à un déficit en FKRP : vers une meilleure connaissance de l’histoire naturelle de la maladie
Les dystrophies musculaires des ceintures (ou LGMD ou Limb Girdle Muscular Dystrophies) constituent un ensemble hétérogène de maladies génétiquement déterminées touchant les muscles des ceintures pelvienne et scapulaire. Près de 40 gènes, récessifs pour la plupart, ont été mis en cause à ce jour. Parmi eux, le gène FKRP code une protéine, la fukutin-related protein, … [Lire la suite]
Maladies mitochondriales à expression musculaire : un nouveau gène en cause (COX6A2)
Les maladies mitochondriales constituent un groupe très hétérogène de maladies génétiquement déterminées dont plusieurs ont une expression phénotypique neuromusculaire (1). Elles sont en lien avec des anomalies des protéines de la chaîne respiratoire mitochondriale, lesquelles sont codées soit par des gènes contenus dans l’ADN mitochondrial, soit par des gènes nucléaires. L’expression et la gravité de … [Lire la suite]
CMT1A : un questionnaire pour évaluer la fonction du pied
La maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT1A) correspond à un ensemble très hétérogène de neuropathies sensitivo-motrices génétiquement déterminées. Près de 80 gènes sont impliqués dans la survenue d’une forme ou d’une autre de maladie de Charcot-Marie-Tooth. Parmi eux, la duplication du gène PMP22, en cause dans la forme 1A de la maladie, est de loin l’anomalie la … [Lire la suite]
SMA : une étude catalane confirme l’utilité du salbutamol chez les patients de type 2
L’amyotrophie spinale liée au gène SMN1 (ou SMA pour spinal muscular atrophy) est une maladie du motoneurone autosomique récessive comportant quatre types selon l’âge de début des premiers symptômes et le niveau moteur maximal atteint par l’individu (types I à IV). La SMA entraine un déficit prédominant aux racines des membres, et selon sa gravité, … [Lire la suite]
Physiopathologie des myosites : le rôle possible d’une protéine mitochondriale responsable d’apoptose
Les myopathies inflammatoires sont des maladies neuromusculaires auto-immunes relativement fréquentes avec deux pics de fréquence : l’un dans l’enfance (dermatomyosite juvénile) et l’autre chez la personne d’âge mûr (polymyosite, myosite à inclusions et autres). Leur étiologie reste encore mal comprise même si on sait que l’auto-immunité y joue un rôle majeur. On ignore en particulier … [Lire la suite]