Actualités de la myologie

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Les myosites s’accompagnent d’un sur-risque coronarien selon deux larges études

Avoir une dermatomyosite ou une polymyosite serait, en soi, un facteur de risque de coronaropathie, même si les mécanismes physiopathologiques sous-jacents restent à identifier avec précision. Telle est la conclusion d’une étude menée à Taiwan. Elle a porté sur les données d’assurance maladie de 1 145 adultes atteints de myosite, comparées à celles de 732 723 patients … [Lire la suite]

CMT 4C : une nouvelle approche de thérapie génique

Des recherches chypriotes, financées par l’AFM-Téléthon, apportent la preuve de concept de l’efficacité potentielle d’une thérapie génique dans un modèle de souris CMT 4C. La CMT4C est une forme démyélinisante récessive de maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT) due à la perte du gène SH3TC2 . Dans la maladie de Charcot-Marie-Tooth, plusieurs approches de thérapie géniques sont en … [Lire la suite]

A l’occasion du congrès annuel de l’AAN, Avexis annonce des résultats préliminaires de thérapie génique très encourageants dans la SMA

Le zolgensma® (AVXS-101) est un candidat-médicament de thérapie génique que la société Avexis (une filiale de Novartis), en s’appuyant sur des travaux réalisés à Généthon, a développé dans l’amyotrophie spinale proximale liée au gène SMN1 (SMA). Plusieurs essais cliniques internationaux évaluent actuellement le zolgensma® chez des enfants atteints de différentes formes de SMA, âgés de … [Lire la suite]

Myasthénie auto-immune : une activité physique limitée

La myasthénie auto-immune provient d’un dérèglement du système immunitaire entrainant la production d’auto-anticorps dirigés contre un des éléments constitutifs de la jonction neuromusculaire. Caractérisée par un caractère fluctuant des symptômes et la présence d’un bloc synaptique à l’électromyogramme, la myasthénie se traduit par des paralysies à fort tropisme oculaire qui peuvent évoluer vers un déficit … [Lire la suite]

Myosites : les critères diagnostiques publiés en 1975 seraient aussi (voire plus) performants que ceux publiés en 2017

La plupart des myopathies inflammatoires idiopathiques (ou myosites) disposent de traitements efficaces. C’est dire l’intérêt de poser tôt un diagnostic de certitude. Différents critères diagnostiques sont disponibles, notamment ceux de Peter et Bohan (1975) et ceux de l’European League Against Rheumatism et de l’American College of Rheumatology (EULAR/ACR 2017). Des résultats surprenants Une équipe indienne … [Lire la suite]

Myasthénie auto-immune : l’effet bénéfique de la thymectomie confirmé à cinq ans

La myasthénie auto-immune provient d’un dérèglement du système immunitaire entrainant la production d’auto-anticorps dirigés contre un des éléments constitutifs de la jonction neuromusculaire. Caractérisée par un caractère fluctuant des symptômes et la présence d’un bloc synaptique à l’électromyogramme, la myasthénie se traduit par des paralysies à fort tropisme oculaire pouvant évoluer vers un déficit musculaire … [Lire la suite]

Le cannabis ou ses dérivés auraient-il des vertus thérapeutiques dans les dystrophies myotoniques ?

La maladie de Steinert ou dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une affection multisystémique d’origine génétique particulièrement fréquente. Due à une expansion de triplets nucléotidiques de type CTG perturbant le métabolisme des ARN messagers à l’intérieur du noyau cellulaire, elle s’exprime cliniquement de manière polymorphe touchant préférentiellement le muscle squelettique, le cœur, le système … [Lire la suite]

Un biomarqueur de la défaillance cardiaque dans les myopathies avec insuffisance respiratoire chronique : à propos de l’expérience garchoise

Un certain nombre de maladies neuromusculaires s’accompagnent d’une atteinte cardiaque associée ou non à une atteinte respiratoire. C’est le cas surtout des dystrophies musculaires. À un stade avancé, cette atteinte peut entrainer une véritable insuffisance cardiaque terminale et par voie de conséquence une mort prématurée. Les marqueurs de défaillance cardiaque sont multiples, soit cliniques soit … [Lire la suite]

A propos d’une cohorte française de patients atteints d’une forme très rare d’amyotrophie spinale (SMARD1)

L’amyotrophie spinale avec détresse respiratoire de type 1 ou SMARD1 (pour spinal muscular atrophy with respiratory distress type 1), bien que très rare, est une des formes atypiques d’amyotrophie spinale les plus fréquentes de l’enfant. Elle touche essentiellement des nouveau-nés et des nourrissons, associant une hypotonie sévère prédominant dans la partie distale des membres et … [Lire la suite]

SMA de type 0 et phénomènes ischémiques : le nusinersen serait aussi efficace ?

L’amyotrophie spinale liée au gène SMN1 ou SMA (pour spinal muscular atrophy) est une maladie neuromusculaire fréquente chez l’enfant et à l’origine d’une importante morbi-mortalité. Elle se traduit par des paralysies motrices en rapport avec la dégénérescence du deuxième motoneurone. On en distingue quatre types (de I à IV) selon l’âge d’apparition des premiers symptômes … [Lire la suite]