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DMD : des anomalies cardiaques fréquentes chez les femmes transmettrices
La dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) est la plus fréquente des maladies neuromusculaires de l’enfance. Transmise selon une hérédité récessive liée à l’X, la DMD se traduit par un déficit musculaire progressif prédominant au niveau proximal. Les complications cardio-respiratoires surviennent plus tardivement, en moyenne après l’âge de 15 ans. La dystrophie musculaire de Becker (BMD) … [Lire la suite]
Myosite à inclusions : deux revues de la littérature confirment le peu d’effets des traitements
Les myopathies inflammatoires idiopathiques représentent un contingent relativement important de patients majoritairement d’âge adulte. Ces maladies neuromusculaires sont en rapport avec un dérèglement du système immunitaire. A côté des formes classiques que représentent les dermatomyosites et polymyosites, la myosite à inclusions (ou sIBM pour sprodic Inclusion Body Myositis) s’est progressivement imposée comme une entité à … [Lire la suite]
Myosite à anti-SRP : une étude japonaise confirme son caractère spécifique
Les myosites s’accompagnant d’auto-anticorps dirigés contre la protéine SRP (pour signal recognition particle) représentent un petit contingent de patients atteints de myopathie inflammatoire acquise. La SRP interagit avec un ensemble de protéines pour faciliter le transfert dans le cytoplasme des protéines nouvellement assemblées dans l’appareil de Golgi. Le concept même de cette myopathie reste discuté, … [Lire la suite]
Maladie de Steinert : une échelle d’auto-évaluation désormais validée et bien corrélée à d’autres mesures objectives
La maladie de Steinert (ou dystrophie myotonique de type 1 ou DM1) est une des maladies neuromusculaires les plus fréquentes chez l’adulte. Cette pathologie touche le muscle squelettique, le cœur, le système endocrinien et le cristallin. Due à une expansion de triplets nucléotidiques CTG dans le gène DMPK, cette maladie se transmet selon un mode … [Lire la suite]
FSH : 3% des patients concernés par une assistance ventilatoire
La dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale (FSH) est une des dystrophies musculaires les plus fréquentes à l’âge adulte. Transmise selon un mode autosomique dominant, sa prévalence est de 1 pour 20 000 personnes. Outre le déficit musculaire très sélectif qu’elle entraîne, elle peut être à l’origine d’anomalies sensorielles (notamment rétiniennes et auditives). Sa physiopathologie est encore mal … [Lire la suite]
Dystrophinopathies et imagerie des muscles la cuisse : un signe facilement reconnaissable d’après une étude chinoise
La dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) est la plus fréquente de maladies neuromusculaires de l’enfance. Transmise selon une hérédité récessive liée à l’X, la DMD se traduit par un déficit musculaire progressif prédominant au niveau proximal. Les complications cardio-respiratoires surviennent plus tardivement, en moyenne après l’âge de 15 ans. La dystrophie musculaire de Becker en … [Lire la suite]
Myopathie mégaconiale : la plus importante série de patients rapportée au monde
Les dystrophies musculaires congénitales (DMC) constituent un groupe très hétérogène de maladies neuromusculaires débutant précocement dans l’enfance et se traduisant par une hypotonie et un processus dystrophique d’intensité variable visible en histologie. Une forme de DMC remplissant ces critères et appelée myopathie mégaconiale, a été décrite il y a bien longtemps. Ce n’est que très … [Lire la suite]
Desminopathie et anomalies mitochondriales : attention aux erreurs de diagnostic
Les desminopathies sont des maladies neuromusculaires rares touchant préférentiellement une population adulte. Transmises selon un mode autosomique dominant dans l’immense majorité des cas, elles se traduisent par un déficit à topographie plutôt distal et une cardiomyopathie arythmogène. Caractérisées par une histologie de type myopathie myofibrillaire, elles sont dues à des mutations dans le gène DES … [Lire la suite]
Actinopathies musculaires : un éventail phénotypique qui s’élargit
Parmi les protéines constitutives du sarcomère, et plus particulièrement celles de l’appareil contractile, l’actine joue un rôle majeur. Codée par le gène ACTA1, son déficit est en cause dans plusieurs formes de myopathie qu’elles soient autosomiques dominantes ou récessives. C’était le cas jusqu’à présent pour les myopathies congénitales et plus particulièrement pour les myopathies avec bâtonnets … [Lire la suite]
Lundi 2 novembre : venez manger des crêpes pour démarrer le Téléthon de l’Institut !
Dès le 2 novembre, l’Institut lance son Téléthon et restera mobilisé jusqu’au 18 décembre pour collecter le maximum de dons pour le Téléthon 2015. Kinés, infirmières, stagiaires, médecins, étudiants, chercheurs et membres de la coordination ont organisé de nombreuses manifestations ouvertes à toutes et tous. Venez nombreux ! Crêpe-party : Lundi 2 novembre, … [Lire la suite]