Myopathie inflammatoire

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Myosites idiopathiques : un risque d’évènement cardiovasculaire accru et précoce en cas d’atteinte cardiaque au diagnostic

L’hôpital Saint-Antoine (Paris) a mené une étude rétrospective entre 1997 et 2020 chez 78 patients atteints de myopathie inflammatoire (myosite) idiopathique. Parmi eux, 42 % avaient une dermatomyosite, 23 % un syndrome des antisynthétases, 15 % une myosite de chevauchement, 14 % une myopathie nécrosante et 5 % une myosite à inclusions. Une atteinte cardiaque était … [Lire la suite]

FSHD combinée à une authentique myosite : une association qui interroge

Une étude française impliquant notamment des cliniciens de l’Institut de Myologie rapporte plusieurs cas, inédits et troublants, de patients chez qui deux pathologies neuromusculaires co-existaient : à savoir, d’une part, une dystrophie musculaire de type facio-scapulo-humérale (FSHD), prouvée en biologie moléculaire, et d’autre part, une myosite authentifiée par la présence d’auto-anticorps spécifiques, sur les 5 cas de la … [Lire la suite]

Dermatomyosite et cancer ont des évolutions significativement associées

Une étude rétrospective française multicentrique de 73 patients présentant une dermatomyosite associée à un cancer et suivis en moyenne 3,92 ans, à laquelle ont participé des experts de l’Institut de Myologie, montre que : 82,2% présentaient une forme classique de dermatomyosite, 8,2% une forme amyopathique et 9,6% une forme hypomyopathique ; 76,7% ont eu un … [Lire la suite]

NDUFA11, un possible auto-antigène dans la myosite à inclusions sporadique

Une étude internationale à laquelle ont participé le CHU de Nice et l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière : a évalué la réactivité IgG vis-à-vis d’un panel de 357 protéines chez un total de 874 personnes, dont 31 atteintes de myosite à inclusions sporadique ; les IgG anti-NDUFA11 (pour NADH dehydrogenase 1 α subcomplex 11) se sont avérées plus … [Lire la suite]

La typologie de l’atteinte musculaire n’influe pas le pronostic de la sclérodermie

Une étude rétrospective multicentrique de 71 patients atteints de sclérodermie ayant eu une biopsie musculaire en a retrouvé 46,5% avec une myopathie fibrosante, 25,5% avec une myopathie inflammatoire et 28% avec une myopathie nécrosante auto-immune. Au cours du suivi d’une durée moyenne de 6,4 ans, 21 patients sont décédés, essentiellement par atteinte cardiovasculaire (39%) ou … [Lire la suite]

Une famille belge conforte le lien possible entre HLA-DRB1*11:01 et les myosites induites par les statines

En Belgique, un père et sa fille : ont développé à quelques années d’intervalle une myopathie nécrosante auto-immune avec auto-anticorps HMGCR, à la suite d’un traitement par statines ; sont tous deux porteurs d’HLA-DRB1*11:01, un variant déjà identifié comme étant plus fréquent dans cette pathologie. Le cas de cette famille belge consolide l’hypothèse d’une susceptibilité génétique … [Lire la suite]

Attention aux phytothérapies dans les dermatomyosites

Des cliniciens américains ont étudié la prévalence et la prise de risque chez des patients atteints de pathologies auto-immunes cutanées ayant recours à des traitements par les plantes : étaient concernées la dermatomyosite et le lupus érythémateux disséminé (LED), 673 patients adultes ayant consulté à l’Université de Pennsylvanie entre 2007 et 2024 ont été inclus dans … [Lire la suite]

Un retour d’expérience positif sur la gestion multidisciplinaire en France des pneumopathies interstitielles

Les patients atteints de certaines myopathies inflammatoires sont à risque de développer une pneumopathie interstitielle grave. Des cliniciens français, réunis au sein des filières de santé FAI2R et RespiFil rapportent leur expérience après la mise en place d’une cellule multidisciplinaire destinée à aider les praticiens de terrain confrontés au problème : cette cellule est composée de … [Lire la suite]

La myosite granulomateuse : une forme rare de myopathie inflammatoire

Des chercheurs français rapportent les données cliniques et histologiques ainsi que le profil immunologique de 26 patients chez qui a été porté le diagnostic de myosite granulomateuse : l’âge de début était dans l’ensemble très tardif (âge médian de 65 ans) avec une sévérité clinique observée dans la moitié des cas, dans 14 cas sur 26, … [Lire la suite]

Tour d’horizon des principales myopathies pouvant débuter chez les plus de 50 ans

Une revue française s’est attelée à donner une vue d’ensemble des myopathies à début tardif (MDT) les plus emblématiques, celles qui peuvent se manifester après 50 ans, et identifier les écueils à éviter et les étapes importantes dans l’approche diagnostique de ces pathologies. Selon l’évaluation de la littérature et les données médicales sur les MDT, … [Lire la suite]