En Suède, 1 077 patients atteints de myasthénie auto-immune de l’étude de cohorte Genes and Environment in Myasthenia Gravis study (GEMG) ont répondu à un auto-questionnaire de 106 items incluant le score MG-ADL.
- Près de la moitié (47%) des participants ont ainsi déclaré un état pathologique non satisfaisant (score MG-ADL≥3p), soulignant la nécessité d’améliorer les traitements.
- L’obésité et le sexe féminin étaient associés aux risques les plus élevés d’avoir des symptômes résiduels sous traitement.
- Les auteurs envisagent de faire des études de corrélation entre les données du GEMG et le registre national suédois des prescriptions médicamenteuses.
Voir aussi « Myasthénie auto-immune : les traitements doivent encore progresser »