L’équipe de l’Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire (Strasbourg) a mis au point un modèle murin viable de myopathie centronucléaire défectueuse du gène BIN1 sélectivement dans les muscles. BIN1 code l’amphiphysine 2, une protéine qui contrôle la courbure des membranes.
La dynamine 2 est une protéine effectrice de l’amphiphysine 2, codée par DNM2.
L’injection d’un oligonucléotide antisens ciblant DNM2 à ces souris modèles a amélioré leur force et corrigé leurs anomalies histologiques musculaires en cinq semaines.
Voir aussi « Myopathie centronucléaire liée à BIN1 : une avancée prometteuse »