Des chercheurs français, de l’Institut de Myologie, Généthon et Atamyo, en collaboration avec des chercheurs néerlandais, ont étudié plusieurs paramètres quantitatifs d’IRM afin d’identifier des biomarqueurs sensibles et non invasifs dans le but de suivre la progression de la LGMD-R9 et d’évaluer l’efficacité des nouvelles thérapies.
Menée chez 18 personnes atteintes de LGMD-R9 et 13 témoins, cette l’étude montre que la fraction de graisse musculaire (FF), l’eau T2, l’eau T1 et le pH intramusculaire sont des biomarqueurs efficaces pour la LGMD-R9. La corrélation de certains paramètres testés suggère leur potentiel dans la prédiction de la progression de la maladie.